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ma pitite vie

21 janvier 2012

Situation vécue

Face à certaines expériences vécues ou paroles entendues, je dirai qu'un ami c'est :

- quelqu'un qui t'accueille chez lui sans que tu aies besoin de lui demander et même si il n'y a pas vraiment la place

- quelqu'un que tu soutiens même quand il devient un gros geek et se met à jouer à WOW au détriment des gens réels

- quelqu'un qui partage avec toi le temps d'écoute, qui sait qu'il peut t'appeler si besoin mais qui est aussi là si tu as besoin. En gros, les gens qui ont seulement besoin de toi pour les écouter, les conseiller mais qui ne sont pas là quand tu as besoin ne sont pas des amis...

- quelqu'un qui t'annonce qu'elle est enceinte avant de le dire au reste de la terre (enfin le papa le sait en général...)

- quelqu'un qui connaît tous tes défauts mais ne se sent pas obligé de les exprimer chaque fois qu'il te voit

- quelqu'un qui connaît aussi très bien tes qualités, qui peut donc te motiver pour une recherche d'emploi, un passage à vide, un événement important

- quelqu'un à qui tu peux dire la vérité (même qu'il le prendra pas mal, ou alors pas longtemps !)

- quelqu'un qui te fait changer ta manière de voir le monde (eh oui, c'est par les autres qu'on avance)

- quelqu'un qui ne fait pas semblant d'avoir envie de te voir et annule trois fois et promet une invitation qui n'arrive jamais

- quelqu'un qui fait la surprise de venir te voir alors qu'il y a 800 km de distance et qu'il est endetté

- quelqu'un qui sait te dire que l'homme dont tu crois être amoureuse n'est pas pour toi

Personnellement, je n'ai qu'une amie en ce moment mais le problème c'est qu'elle est loin. Avec tous ces critères et d'autres qui vous sont personnels, vous vous rendrez facilement compte que le nombre d'amis véritables est, en général, de deux ou trois.

 

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19 janvier 2012

Cupcakes au caramel

pour faire 20 magnifiques mini cupcakes au caramel, il vous faut :

- 100g de farine

- 1/4 de cc de sel

- 1/2 cc de bicarbonate de soude (à défaut de la levure)

- 100g de sucre

- 100g de beurre mou

- 2 oeufs

- 1 cc d'extrait de vanille

Préchauffer le four à 180°

Dans un premier saladier, mélanger farine/sel/bicarbonate

Dans un second saladier, battre sucre et beurre en morceaux. Verser l'arôme liquide de son choix (ici de la vanille)

Fouetter à l'aide d'un batteur jusqu'à ce que le mélange devienne crémeux

Casser un premier oeuf dans le saladier. Fouetter tout en ajoutant le second oeuf.

Incorporer, petit à petit, le mélange farine/sel/bicarbonate. Fouetter encore 2 ou 3 minutes.

Remplisser les moules au 2/3 et enfourner 15 à 20 minutes.

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Le glaçage au caramel :

- 50g de beurre mou 1/2 sel

- 75g de sucre glace + 1 sachet de sucre vanillé

- 50g de confiture de lait

Fouetter beurre pour le rendre crémeux. Incorporer petit à petit le sucre glace, mélanger pendant au moins 2 minutes.

Ajouter le sucre vanillé, la confiture de lait tout en continuant à fouetter jusqu'à ce que le mélange soit homogène. Etaler le carmale sur les cupcakes refroidis.

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27 octobre 2011

J'ai l'impression d'être une éponge

En ce moment, pour être tout à fait franche, si on me demandait à quel animal je ressemble, je répondrai une éponge.

J'ai du boulot à ne plus savoir où donner de la tête

J'écoute les doléances des personnes et je les retransmets à leur destinataire mais, en fait, ce n'est pas ce que le gens veulent. Ce qu'ils veulent c'est pouvoir critiquer quelqu'un dans son dos et se sentir mieux après. Mais moi, en tant qu'éponge, j'aspire toute leur mauvaise humeur et leurs griefs et comme je ne suis pas vraiment hypocrite (oh désolée, le mot est lâché) je vais dire à la personne ce que les autres pensent d'elle et, bien sûr, ça me retombe dessus parce que les personnes qui ont mal dit se dédisent.

Et aujourd'hui, j'ai rendu les armes comme ça m'arrive assez souvent. J'ai lâché les grandes eaux. La goutte d'eau a débordé du vase et a inondé une de mes sympathiques collègues. Un moment je n'en ai plus pu (après des tas de problèmes techniques, des prises de conscience sur la hiérarchie et une engueulade un peu exagérée par ma chef), j'ai pleuré, comme une éponge qu'on a trop gonflé et qui se libère...

Alors ma solution pour ne plus absorber et faire ressurgir des commentaires inavouables à quelqu'un, c'est de demander à ceux qui critiquent par derrière (oh le vilain mot) de ne pas le faire en ma présence (facile en théorie mais ça voudrait dire des fois que je m'élimine du 1/4 des conversations, voire de la 1/2, non je ne suis pas mauvaise langue ;-b)

Pour ma sensibilité, là je ne vois pas trop...

11 octobre 2011

Les primaires du délire

Alors y en a qui sont pas contents parce qu'ils ont perdu les primaires (qui en pleurent même), mais ce qui me choque profondément c'est le fait qu'il fallait payer un euro pour pouvoir voter (et il en refaudra un).

Loin de moi l'idée de dire qu'un parti est mieux qu'un autre ou de vous donner aussi mon avis sur un parti politique ou de faire du "propagandisme", mais là je ne comprends vraiment pas pourquoi payer pour aller voter.

Que les socialistes aient besoin de nous pour se départager passe encore (mais il est vrai que dans les autres partis ils se mettent d'accord entre eux même si ils n'ont pas forcément raison sur qui ils choisissent), mais de demander aux électeurs de payer les primaires je trouve ça anti-démocratique.

Un euro, ce n'est rien disent d'autres, mais déjà un euro ce n'est pas rien pour tout le monde, le droit de vote est aujourd'hui (après des années de lutte pour que toutes les personnes majeures aient ce droit) accessible à tous. Dans le principe, c'est reléguer les pauvres au rang de non-votants.

De plus, ce n'est pas aux citoyens de payer leur campagne : on peut avoir envie de voter aux primaires mais pas forcément de leur apporter notre aide (depuis quand les politiques n'arrivent pas à se subventionner d'abord?)

Enfin, par principe, je ne voterai pas si je dois débourser un euro !

 

11 octobre 2011

Clichés archifaux sur les bibliothécaires ou les bibliothèques

- unE bibliothécaire (bien sûr ce métier n'attire aucun homme !) c'est une vieille avec un chignon, un tailleur et un chat (et pourquoi pas un crez crochu et un balai tant qu'on y est !)

- "c'est cool, en bibliothèque, vous lisez toute la journée" (je crois que j'ai déjà exprimé mon avis sur la question mais je le répète les seuls instants où nous avons le temps de lire c'est dans nos maisonettes, bien au chaud son une couette ou pas ...)

- "une bibliothécaire doit avoir lu tous les livres de sa bibliothèque pour bien conseiller les usagers" (ma section contient environ 30 000 titres ce qui me demanderait plus de 82 ans à raison d'un livre par jour si je voulais tout lire)

- "En bibliothèque, vous n'avez que des anciens numéros de revue" (Eh non, on reçoit comme tout le monde les revues et on les met à disposition dès leur arrivée, vous pouvez lire en bibliothèque le Monde paru le jour-même incroyable !)

-"Les autistes peuvent devenir bibliothécaire" (là c'est partiellement vrai, puisqu'une pub le montre lol, mais de 1) ce n'est pas le seul métier que peut faire un autiste et de 2) bibliothécaire n'est pas = à autiste, ne confondons pas tout...)

- "Plus besoin de venir en bibliothèque, on trouve tout sur le Net" (Vous avez entendu parler de la pertinence de l'info, du tri, des opérateurs booléens?, tout ça tout ça...)

En bref, on peut aussi dire que nous ne sommes pas des spécialistes d'un domaine en particulier (sauf parce qu'il nous passionerait personnellement) mais nous sommes des spécialistes de la recherche d'information, de son accès (si si ça existe, et il y en a encore + besoin aujourd'hui avec Internet)

 

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4 juin 2011

8 bonnes raisons de jouer

- on peut trouver des jeux à partir de 10 euros (donc vraiment pas chers) ou même, avec un peu d'imagination, on peut en inventer !

- on trouve des jeux sur à peu près tous les thèmes (tu es fan de dinosaures, tu vas aimer Jurassik, tu aimes l'Egypte, tu vas adorer Nefertiti ou Cleopatre ou..., mais il ya aussi des thèmes comme l'espace, Paris, les chevaliers, la jungle, la cuisine, les contes, les animaux, l'archéologie, les pirates ...)

- il est rare qu'une personne n'aime jouer à rien tellement il ya de styles de jeux différents (logique comme Set, bluff comme Skull and Roses, questions comme Fauna, précision comme Safranito, Jenga, stratégie comme Norenberg, chance (des dés) comme les Cotons de Catane, rapidité comme Dobble, lettres avec Mixmo, Syllabus, draft avec Dominion, 7 wonders, diplomatie, jeux d'ambiance comme Time's up, Bluffer, ...

- tu es tout seul à jouer : c'est toujours possible (avec Set par exemple, un casse-tête) mais si tu veux inviter tous tes amis c'est encore mieux avec des jeux qui se jouent jusqu'à 12 (Dixit) ou 18 et plus (loups-garous...), et puis il existe beaucoup de jeux à 2 très sympas (en bois : Quarto, Gobblet, passe-trappe, ... ou avec des cartes : Colons de catane, Jaipur...)

- tu peux toujours emmener un jeu dans ton sac (Sandwich, par exemple, tient dans la poche mais ce n'est pas le seul...)

- le jeu permet de rencontrer des gens, de passer une bonne soirée entre amis et peut déboucher sur autre chose (débats enflammés par exemple, ;-))

- le jeu permet de s'évader, de se détendre mais également de réfléchir, de s'améliorer (il peut aider à vaincre sa timidité si on se sent à l'aise dans cette atmosphère...)

- la bonne raison de jouer, c'est tout simplement de se faire plaisir (et, croyez-moi, c'est très facile ;-b)

 

19 mai 2011

Baptême de plongée

Hier soir, j'ai fait mon baptême de plongée...

C'était avec l'université, gratuit donc hihi. Alors, comment ça se passe? On arrive à la piscine (bah oui, à C. y a pas la mer et puis, je crois pas qu'on ait le droit de faire un baptême de plongée, c'est quand même pas si évident comme je vais vous l'expliquer...)

Nous voilà donc au bord de la piscine, nous choisissons nos palmes et nos masques (c'est sûr que la plongée c'est pas un concours de beauté : trouvez-moi quelqu'un qui sera tout à fait à son avantage avec des grosses lunettes pleines de buée et un gros tuyau dans la bouche pour respirer, enfin on est pas là pour ça ;-) )

Je laisse passer les autres, j'ai quand même un peu d'appréhension à cause du fait qu'il faut respirer par la bouche (je n'ai l'habitude d'ouvrir ma bouche, en général, que pour parler ou manger...).

Mon tour arrive bientôt (pour tout vous dire, le temps passé sous l'eau n'est que de cinq minutes environ et il parait que c'est toujours ça pour la plongée : on prépare tout l'arnachement, on prend le bateau, on va où on veut, ce qui prend quelques heures et on plonge au maximum une heure, mais ça en vaut la peine). Bon, j'ai bien appris les gestes pour dire ok, tout va bien, c'est moyen, je veux remonter ou descendre. Je commence par quelques exercices de respiration avec la bouteille (en réalité, c'est plus facile de respirer par la bouche dans l'eau vu qu'on ne peut pas faire autrement). Et hop, on descend (oui petite précision, un baptême ça se fait forcément avec un moniteur qui te tient tout le temps pour vérifier que tout va bien, qui te demande toutes les dix secondes si tout est ok et une ou deux autres personnes qui sont là à côté pour... euh voir si tout va bien aussi je pense ;-)

Déjà, j'ai du mal à comprendre comment descendre (riez pas , c'est ma première fois et le corps  flotte c'est connu sauf pour les sorcières je crois). Le moniteur me dira après qu c'est parce que j'étais stressée mais je vous assure que moi je voulais descendre et  une copine m'a dit après que l'on jouait avec l'arnachement derrière soi pour descendre (comme pour les montgolfières...) donc je crois surtout que le moniteur prenait beaucoup de précautions parce qu'il me croyait stressée. Mais bon, passons, sachez quand même que descendre de quelques mètres ça fait mal aux oreilles (oui, je sais logique) mais surout que ce n'est pas évident de se les déboucher, oui merci je sais comment faire mais là avec un masque, un truc dans la bouche et tout c'est pas pareil..)

Une fois au fond (les oreilles bien débouchés), c'est l'extase, j'ai l'impression d'être un poisson, et d'avoir l'immensité de la piscine pour moi (enfin là, y a avait quand même pas mal de monde au m2) et d'être totalement dans mon élément, seule au monde, libre (à part la personne qui me tient, c'est parfait).

Une expérience géniale donc, que j'aimerais concrétiser par des cours (peut être que l'université va en faire l'année prochaine) et des passages dans la mer...

6 avril 2011

Amour toujours?

C'est un peu la mode aujourd'hui (enfin façon de parler) les histoires d'amour courtes (entre 5 et 10 ans, 15 maxi)...

Alors je me pose la question : pourquoi? pourquoi nos parents sont encore, en grand majorité, ensemble alors que nous vivons des histoires courtes (enfin, moi je dis ça mais j'espère rester ma vie entière avec D....)?

J'ai vécu une histoire de six ans à peu près, qui s'est finie parce que je n'aimais plus Monsieur. Est-ce que l'amour s'arrête un jour? laisse place à autre chose?

Est-ce que les jeunes sont trop exigeants? trop épris de libertés? trop fainéants? trop idéalistes?

Bien sûr chaque réponse est individuelle mais j'ai peur que les gens cherchent trop la simplicité. Le célibat, c'est plus facile à vivre, c'est évident. Vivre en couple, ça demande plus d'efforts (communiquer, accepter les défauts de l'autre, ses manies, ...) mais c'est aussi grandir grâce aux différences de l'autre...

Qu'en pensez-vous?

25 mars 2011

Tordons le cou à certaines idées reçues

- je travaille en bibliothèque mais je range des livres seulement une dizaine de minutes par semaine

- ce n'est pas parce que la bibliothèque est fermée que nous sommes en vacances (pour un exemple, en bibliothèque municipale, les heures d'ouverture sont d'une vingtaine d'heures en moyenne et pourtant les personnes qui y travaillent font 35 ou 37h30 par semaine, le rêve je sais ;-)

- dans le même sens, nous ne passons pas tout notre temps à faire du prêt et du renseignement (même si on adore ça!), on a du travail en interne (les documents, avant d'aller en rayon, doivent être achetés donc sélectionnés, réceptionnés, catalogués, équipés..., on fait des formations à la recherche, on se forme à notre métier, on répare les livres, on réfléchit à la communication, on crée et on améliore notre catalogue, on gère les bases de données, et plein d'autres choses passionnantes)

- il n'est pas nécessaire d'aimer les livres pour devenir bibliothécaire (il est même carrément mieux en bibliothèque universitaire de maîtriser plutôt l'informatique)

- il est surtout important d'aimer les gens pour travailler en bibliothèque (exit la vieille bibliothécaire grincheuse à lunettes et chignon sévère!)

- aimer les livres est possible, mais les bibliothécaires sont en réalité des professionnels de la recherche documentaire (mais si, on a des choses à vous apprendre sur Internet, les bases de données, les méthodes de recherche...) et peuvent également être des animateurs (contes, animations de débats, ...)

- le désherbage (terme bibliothéconomique pour désigner le fait de jeter des livres) est NORMAL (des gens ont crié au scandale quand ils ont vu que la bibliothèque de Rennes avait enlevé de ses rayons des livres). Je vous explique : on enlève pas les livres de nos rayons n'importe comment (au pif, j'aime pas sa coueleur à lui, les autres à côté sont rouges et lui, bleu clair). On choisit ce qu'on enlève et on a raison de le faire parce que : ils sont vieux, ils ne vous plaisent pas, ils tombent en lambeaux, ils sont périmés (un rapport financier qui date d'avant 2002 soit avant l'euro est un peu dépassé non?),...

22 mars 2011

Ne coupez pas la vague

        Je ne sais pas si vous connaissez le spectacle "les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénus" (ou comment comprendre les personnes de l'autre sexe, enfin d'une manière très stéréotypée) mais le comédien y explique que l'humeur des femmes est représentable sous la forme de vagues : par instant, tout va bien, tout le monde s'aime, le monde est beau (lalalalala) et par instants, en bas de la vague, plus rien ne va et c'est la    catastrophe.   

Je ne serai pas aussi catégorique que lui (le monde extérieur ne se divise pas aussi uniformément  et les femmes ne sont pas toutes les  mêmes) mais en ce qui me concerne, il m'arrive de traverser ces périodes où rien ne va (tiens pas plus tard qu'hier !). D'abord, une information importante, pour vous messieurs: ça n'a rien à voir avec les règles ou les hormones (non, je ne suis pas enceinte). Ce que je peux dire, c'est que ces moments sont plutôt courts (lorsque je suis écoutée, environ 1 heure...) et qu'à ce moment-là, je crois (ou j'ai besoin ou je veux ce qui revient peut être au même) que mes problèmes sont existentiels et surtout que j'ai besoin d'en parler (ah oui, là je reconnais la femme en moi, ce besoin de parler des choses qui ne vont contrairement à certains qui préfèrent mettre la tête dans le sable comme les autruches, non je ne citerai pas de nom !)

A ce moment-là, pour moi (et pour d'autres si l'on en croit le comédien), le mieux est d'écouter, on ne vous demande pas de solutions, messieurs. Si vous essayez d'en trouver, on trouvera à notre tour d'autres problèmes (parce que ce qu'on veut à ce moment c'est du réconfort, de l'écoute, et pouvoir larmoyer sans penser aux autres qui ont de vrais problèmes !)  En l'occurence, j'ai besoin que l'homme qui partage ma vie (assez virtuellement pour l'instant hélas) me prenne dans ses bras même quand je me déchaine contre lui (parce qu'il faut bien avouer que même si je l'aime à la folie et qu'il n'est pas responsable de tous mes malheurs, il est là et c'est tant mieux ;-)

Si j'ai pu aider quelqu'un ...

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